Cross du Grand Bara
14/12
Evènement sportif de l'année à Djibouti, cette épreuve consiste à courir 15 km dans le désert du Grand Bara, le long d'une ligne de cailloux.
Tout commence avant le lever du jour. Certains ont dormi sur le bivouac, d'autres arrivent au petit matin.
Le parking se remplit vite, pendant que les camions, indifférents, continuent leurs routes.
Le départ est donné par le passage en basse altitude de 2 Mirages 2000-5. Les 1500 concurrents s'élancent pleins de courage, accompagnés par quelques soutiens à vélos.
Sous la surveillance des hélicoptères.
Le soleil se lève alors, prenant le départ à son tour.
Donnant un aspect irréel à la course
Les premiers concurrents passés, les autres suivent sous une lumière plus habituelle.
Courir dans le désert, sans d'autres repères que cette ligne de pierres, cela ne doit pas être simple.
Pour les moins rapides, il faut ajouter les nuages de sable soulevés par les premiers et par les hélicos.
Un grand coup de chapeau à ce concurrent des Sapeurs Pompiers de Paris qui a, encore cette année, bouclé cette épreuve en fauteuil roulant.
De nombreuses nations étaient représentées donnant une envergure internationale à ce Cross du Grand Bara.
Un grand bravo à tous pour cette participation que pour ma part je laisse volontiers.
Il ne reste plus qu'à nettoyer pour ne pas entendre les paroles de "Respire" de Mickey 3D :
"On a même commencé à polluer le désert",
Et garder la même magie pour l'édition 2018.
Evènement sportif de l'année à Djibouti, cette épreuve consiste à courir 15 km dans le désert du Grand Bara, le long d'une ligne de cailloux.
Tout commence avant le lever du jour. Certains ont dormi sur le bivouac, d'autres arrivent au petit matin.
Le parking se remplit vite, pendant que les camions, indifférents, continuent leurs routes.
Le départ est donné par le passage en basse altitude de 2 Mirages 2000-5. Les 1500 concurrents s'élancent pleins de courage, accompagnés par quelques soutiens à vélos.
Sous la surveillance des hélicoptères.
Le soleil se lève alors, prenant le départ à son tour.
Donnant un aspect irréel à la course
Les premiers concurrents passés, les autres suivent sous une lumière plus habituelle.
Courir dans le désert, sans d'autres repères que cette ligne de pierres, cela ne doit pas être simple.
Pour les moins rapides, il faut ajouter les nuages de sable soulevés par les premiers et par les hélicos.
Un grand coup de chapeau à ce concurrent des Sapeurs Pompiers de Paris qui a, encore cette année, bouclé cette épreuve en fauteuil roulant.
De nombreuses nations étaient représentées donnant une envergure internationale à ce Cross du Grand Bara.
Un grand bravo à tous pour cette participation que pour ma part je laisse volontiers.
Il ne reste plus qu'à nettoyer pour ne pas entendre les paroles de "Respire" de Mickey 3D :
"On a même commencé à polluer le désert",
Et garder la même magie pour l'édition 2018.
Effectivement y'a du plastique dans l'air.
RépondreSupprimerJe t'attribue le prix pulitzer pour ce reportage et cette photo remarquable remplie d'étoiles 😉.
Impressionnant ce site, la ligne de cailloux doit vite devenir hypnotique, lorsque tu cours.
je vote pour (le prix pulitzer) !
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